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Portrait de Reine Astrid, maître Chocolatier
France

Paris - Depuis 1935

A La Reine Astrid

Loin du brouhaha urbain, un chocolat travaillé en micro-production à partir de fèves de cacao équitable

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À propos...

Un chef passionné et gourmand

Nicolas Morin a rejoint la Reine Astrid en 2016. Passionné et gourmand, il commence sa formation de Pâtissier Chocolatier au lycée hôtelier d’Etiolles avant de se spécialiser dans le chocolat et la confiserie.

Suite à cela, il passera 10 années à La Maison Du Chocolat où il apprendra toutes les subtilités du cacao et le sens du détail, notamment grâce à la participation au Meilleur Ouvrier de France de Nicolas Cloiseau. Puis il fut récompensé de la médaille de bronze à la Coupe de France des jeunes Chocolatiers Confiseurs.

Aux yeux de ce jeune perfectionniste, qui veut avant tout revenir à un travail authentique de la matière, le chocolat est « une source de plaisir et de bonheur simple ».

Il partage aujourd’hui sa passion et ses créations avec les clients de la Reine Astrid !

Photo historique Reine Astrid

C'était dans les années folles...

Mademoiselle Fernande Gobert, fille d’un maître chocolatier lillois renommé, quitte les brumes du nord pour les paillettes de la capitale en 1935. Elle ouvre à deux pas des Champs Elysées, 33 rue de Washington, un ravissant magasin où elle vend aux Parisiens les délices et chocolats fabriqués par son père. La même année, la Reine Astrid, princesse suédoise, épouse du roi des Belges, meurt dans un accident d’automobile. Adorée comme a pu l’être la Princesse Diana, la Reine Astrid entre en mythe dans l’histoire. Notre chère mademoiselle Gobert, fan de la première l’heure, écrit alors à la cour de Belgique afin d’obtenir l’autorisation de donner à son joli magasin le nom de sa princesse chérie défunte. Le protocole lui accorde ce droit à l’unique condition que les produits soient d’une extrême qualité. Ainsi naquit « A La Reine Astrid ».

Les Parisiens se pressent à la porte du chocolatier nouvellement rebaptisé. On se damnerait pour ses fameuses sucettes au caramel enrobé, ses négus onctueux, ses trianons fondants ou ses caprices de praline ! Mademoiselle Gobert, forte de son succès et dévouée à sa clientèle parisienne souvent en villégiature, ouvre alors à Deauville sa seconde enseigne gourmande. Fine commerçante, elle veille tard dans la nuit jusqu’à l’heure où les joueurs impénitents sortent du casino et viennent se réconforter dans son échoppe de quelques fines gourmandises.

En 1975, Mademoiselle Gobert se retire avec ses souvenirs et cède « la rue Washington» à une autre demoiselle : Mademoiselle Granjean. La notoriété de la maison commence à franchir les frontières. Les cars de touristes font désormais une escale gourmande dans la petite échoppe rococo « A La Reine Astrid ». Mademoiselle Granjean se retire cependant des affaires, passant le flambeau à Geneviève Salmon, une femme d’entreprise, gourmande et passionnée.

A partir de 1998, Geneviève Salmon poursuit les codes exigeants de fraîcheur et de qualité, forts appréciés depuis toujours par une clientèle fidèle de génération en génération. Elle donne à la marque un véritable essor à l’étranger, ouvrant des boutiques à Tokyo, Bucarest, Moscou puis Hong Kong. A Paris, A La Reine Astrid prend aussi ses quartiers de modernité en s’installant Rive Gauche, rue du Cherche Midi.

Photo fèves cacao Reine Astrid

Une démarche responsable

Christophe Bertrand a passé 8 années dans deux des plus prestigieuses Maisons Parisiennes dédiées au Chocolat pour y développer l'offre en cadeaux d'affaires, les gammes de produits et les partenariats. C'est en Chine en 2005, à l'occasion du 1er Salon du Chocolat organisé à Pékin, qu’il fait connaissance avec la société « A La Reine Astrid ». Le savoir-faire et l'image de la marque le séduisent, et c'est tout naturellement qu'il lui est confié de reprendre le flambeau en 2012. L'emplacement parisien n'étant pas pertinent, c'est tout d'abord à Ville d'Avray que la marque se relance en septembre 2012, puis à Meudon et à Viroflay en 2013 pour prendre le temps de revenir sur Paris en fin d'année.

La marque se construit autour de valeurs responsables : recherche de petits fournisseurs locaux, sacs et emballages fabriqués en France, biodégradables lorsque c'est possible. La mise en place d'une carte de fidélité permet de reverser 5 % du chiffre d'affaires aux planteurs de Cacao Haïtiens de la FECCANO, preuve qu’il existe une offre de produits chics, sans compromis sur la qualité, accessibles et éthiques.

Aujourd'hui, dans le laboratoire de Savigny sur Orge, la marque pousse encore plus loin que la majorité de ses confrères, le côté artisanal de sa production en fabriquant son propre praliné et en turbinant les amandes, noisettes et autres fruits secs. L'équipe s'est même engagée récemment sur une plantation d'amandes en Provence pour récolter et cultiver les fruits qui seront utilisés ensuite dans la production.

Photo Ambiance Reine Astrid
Photo Ambiance Reine Astrid